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Les communautés religieuses apostoliques

PETITES SŒURS DES PAUVRES

Les Petites Soeurs des Pauvres accueillent, réconfortent, accompagnent jusqu’à l’heure de la mort les anciens placés par Dieu sur leur route. Elles agissent ainsi à la suite de Jésus. Il a partagé la peine et la souffrance humaines. Il fut « serviteur » de son Père et de ses frères.

Au siècle dernier

Une femme courageuse, Jeanne JUGAN, entendit l’appel de Dieu à le servir.

Pauvre, elle-même, obligée de travailler dur pour assurer sa subsistance, Jeanne était sensible à la misère des vieillards côtoyés dans les rues de St Servan, la ville où elle habitait. Elle partageait avec eux son salaire, son pain et le temps dont elle disposait.

Un soir d’hiver (1839), elle se trouva face à la détresse d’une vieille femme seule, aveugle et à demi paralysée. Jeanne prit Anne Chauvin dans ses bras, la conduisit chez elle, la monta dans sa chambre et lui donna son propre lit.

La porte étroite de la chambre de Jeanne allait bientôt s’ouvrir sur la terre entière.

En la personne d’autres vieillards, privés de cœurs pour les aimer, de mains pour les servir, le Seigneur allait multiplier sont appel, de nombreuses jeunes l’entendirent.

La Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres était née.

« Mes petites, ne l’oubliez jamais
le pauvre, c’est le Christ ! »
Jeanne Jugan aux novices

Aujourd’hui

A travers le monde, les Petites Sœurs poursuivent et actualisent la démarche de Jeanne JUGAN.

L’esprit des béatitudes fonde et nourrit l’engagement des Petites Sœurs. Elles tendent à le vivre dans l’humilité, la simplicité, la confiance en Dieu, le service joyeux des personnes âgées, scellé par le vœu d’hospitalité, accompli dans des communautés fraternelles internationales.

Les Petites Soeurs des Pauvres

Extrait de la Constitution des Petites Sœurs des Pauvres, art. 14

Etre Petite Sœur « des Pauvres » nous rappelle ceux à qui nous sommes vouées, notre désir d’aller toujours vers les plus pauvres, de créer un courant de collaboration apostolique et de charité fraternelle, pour secourir le Christ dans les pauvres.
Personnellement, c’est une invitation à communier à la béatitude de la pauvreté spirituelle, nous acheminant vers le dépouillement total qui livre une âme à Dieu.

FRÈRES MISSIONNAIRES DES CAMPAGNES

Présents dans le diocèse d’Orléans depuis 1955, avec des responsabilités et en des lieux divers, les Frères Missionnaires des Campagnes sont à Lorris dans la suite de cette longue présence dans le Gâtinais et à ses habitants.

Prieuré des Frères

Une communauté fraternelle

En France, au Togo, au Burkina Faso, au Bénin ou au Brésil, les Frères s’implantent comme communauté de foi.

  • Ils ne se sont pas choisis mais sont rassemblés au nom de Jésus Christ et par Lui. Ils veulent vivre une présence évangélique dans la région où ils sont envoyés.
  • Ils mènent leur vie religieuse apostolique selon leurs Constitutions.
  • Ils célèbrent l’action du Christ vivant dans la prière de l’Office et l’Eucharistie. Leur lieu de prière est ouvert à tous.

Religieux, ils s’insèrent dans la vie du diocèse, en lien avec les communautés religieuses en rural. Selon les dons et les capacités de chacun, ils contribuent à ouvrir et à tisser des liens de fraternité universelle. Leur type d’habitation, leur mode de vie sont simples. Leur maison et leur vie en communauté sont l’un des lieux du « Viens et vois ».

Les responsabilités de la communauté sont partagées selon les dons complémentaires de chacun dans cette petite famille qui voudrait pratiquer l’accueil et le pardon. Cette dimension communautaire est celle de notre appel mais elle signifie aussi la vocation de toute communauté chrétienne : vivre la différence en cherchant la communion et la fraternité au nom du Christ. La communauté, par son existence même, est missionnaire.

Des femmes et des hommes en rural ont désiré partager l’esprit des fondateurs qui anime Frères et Sœurs des Campagnes, avec eux ils forment : « La Communion ».

Une communauté missionnaire

Parmi les hommes et dans l’Eglise, les Frères, membres d’une famille religieuse, poursuivent leur vie missionnaire selon leur histoire, leur expérience, dans la vie fraternelle en communauté. Ils assument la commune condition humaine de fragilité et de vieillissement dans la fraternité. Ils participent à la vie du pays, à des associations. Ils sont présents à des personnes malades ou âgées et pratiquent l’accueil.

Sans avoir de charges pastorales directes, ils collaborent volontiers avec des personnes en responsabilité d’Eglise. Ils font équipes en divers lieux (C.M.R., Carrefour de l’Eglise en Rural, Rosaire, avec des foyers et des Gens du Voyage…). Ils assument des services qui leur sont demandés (liturgie, funérailles, permanences, célébrations).

Par la prière et par des échanges (avec leurs Frères venus d’Afrique et du Brésil ou d’autres personnes), par l’information, ils se font plus « catholiques », adjoignant au Corps du Christ des parcelles de ce monde magnifique et misérable dont ils portent dans la foi et la prière les joies, les épreuves et les espoirs.

SŒURS DES CAMPAGNES

Histoire

Les Sœurs des campagnes ont été fondées par Sœur Ghislaine Aubé en 1947. Elle fut associée aux débuts de la congrégation des Frères Missionnaires des Campagnes fondée en 1943 en Seine-et-Marne par le Père Epagneul. L’un et l’autre étaient interpellés par la déchristianisation du monde rural et le peu d’ouvriers au service de l’Évangile dans cette région. Sœur Ghislaine était sensible aux ressources humaines et religieuses des ruraux.

Religieuses…

Notre vie religieuse s’enracine dans l’expérience des disciples de Jésus. L’Evangile en est la source. Jésus nous a séduites. Nous avons accueilli son appel et tout quitté pour marcher à sa suite : vivre pour Dieu et pour nos frères. Par la célébration de la Liturgie des Heures et l’Eucharistie, nous nous associons à la prière de l’Église, avec et au nom de nos frères les ruraux.

Avec les Frères des campagnes et des laïcs, nous vivons depuis 20 ans le partage d’une même spiritualité missionnaire en rural.

…en communautés

Nous voulons vivre en disciples de Jésus. Par amour pour lui, nous mettons tout en commun : argent, biens, joies, peines, travail, engagements dans la mission. Notre relation à Dieu et à nos frères se nourrit de l’écoute quotidienne de la Parole de Dieu, de l’étude, de la prière personnelle et communautaire.

Annoncer l’Evangile, c’est d’abord en vivre entre nous, et en communauté de vie avec les ruraux, dans une attitude d’écoute respectueuse, de simplicité, à la manière de Jésus.

Sœurs des Campagnes

Vie missionnaire en rural

Attentives à l’œuvre de l’Esprit dans le cœur des hommes, émerveillées des richesses qu’ils portent en eux, nous voulons contribuer à leur révéler que “tout homme est aimé de Dieu.”Pour accomplir son œuvre, le Fils de Dieu s’est fait homme parmi les hommes. Nous cherchons à devenir sœurs de tous. Nous avons choisi de partager leur vie de travail, vivant des relations de proximité avec le voisinage et participant aux activités locales.

Avec les chrétiens nous voulons susciter et animer des communautés de foi vivantes, priantes et missionnaires. En lien avec la pastorale diocésaine, nous cherchons à nous insérer dans les lieux qui nous accueillent, à collaborer avec les différents acteurs qui sont sur le terrain : prêtres, diacres, laïcs, religieux(ses), Mouvements et Services d’Eglise. Nous gardons le souci de rejoindre ceux qui sont aux frontières de l’Eglise.

Aujourd’hui

Aujourd’hui, les Sœurs des Campagnes sont
En France : dans 11 diocèses
En Afrique : au Togo, Burkina Faso, Bénin
Dans le diocèse d’Orléans : à Lombreuil et à Ladon

Prieuré des Sœurs

Congrégation de Jésus et de Marie (Eudistes)

La Congrégation des Eudistes est une Société de vie apostolique. Fondée en 1643 par le prêtre saint Jean Eudes, son nom officiel est : « Congrégation de Jésus et Marie » (C.J.M.). Elle rassemble des prêtres vivant en communauté mais sans vœux religieux, des diacres et des laïcs associés.

Ils sont aujourd’hui présents en Amérique du nord (Canada et U.S.A,) dans plusieurs pays d’Amérique Latine et d’Afrique, et aux Philippines.

 

Comme au temps de saint Jean Eudes, la mission de la Congrégation au sein de l’Eglise est de travailler à « l’œuvre de l’évangélisation et à la formation de bons ouvriers de l’Evangile » (Constitutions n° 10), notamment des prêtres, diacres et laïcs engagés dans l’Eglise.

Bien insérés dans les églises locales de par leurs tâches pastorales, les eudistes travaillent en collaboration étroite avec l’évêque et les prêtres du diocèse où ils résident.

 

Les Eudistes puisent leur spiritualité dans la vie et les écrits de leur fondateur saint Jean Eudes, et dans l’Ecole Française de Spiritualité, initiée par le Cardinal de Bérulle.

Pour plus de renseignements, voir sites :
http://www.eudistes.fr
http://www.eudistes.org

icône de St Jean-Eudes

Présence des Eudistes dans le diocèse d’Orléans

En 1964 Mgr Riobé propose à la Congrégation de fonder et de prendre en charge l’aumônerie de la nouvelle université d’Orléans La Source.

En 1969 une première communauté de quatre Eudistes est canoniquement érigée au centre ville. À la demande de l’évêque elle se transporte en 1972 dans le quartier de la Source pour former avec trois prêtres diocésains une équipe aux tâches diversifiées, l’une de ces tâches étant de travailler à la formation première et permanente des prêtres du diocèse.

En 1980 Mgr Lustiger, nouvel évêque d’Orléans, décide, en concertation avec les autres évêques de la région, de faire repartir le premier cycle de séminaire.

Depuis cette refondation en 1980, le Séminaire Interdiocésain d’Orléans, qui comprend aujourd’hui toutes les étapes de la formation première au presbytérat, est confié aux soins de la Congrégation de Jésus et Marie, en collaboration avec d’autres prêtres.

Mais répondant aux besoins, et aux demandes, qui peuvent leur être faites, ils accomplissent d’autres tâches pastorales : paroisses, accompagnements d’équipes ou personnels… Diversité de ministères où ils essaient de répondre à la suite et à l’exemple de Jean Eudes, leur fondateur, à leur vocation d’« évangélisateurs-formateurs ».

Frères de Saint Jean

Notre charisme s’inspire de la figure et des écrits du disciple Saint-Jean. Il se résume ainsi : À la suite de l’apôtre Jean, vivre ensemble en amis du Christ et témoigner de sa lumière et de son amour.

Nous sommes des religieux ancrés dans la tradition de l’Église, vivant des vœux de pauvreté, chasteté et obéissance. Notre charisme est marqué par la prière commune et la charité fraternelle vécues en petits prieurés. Les frères puisent dans ce cadre religieux leur vitalité apostolique, qui s’exprime de manières très diverses selon les appels des évêques et la créativité des frères.

Ce charisme s’incarne dans notre vie religieuse selon 4 piliers : vie de prière, vie fraternelle, vie d’étude, vie apostolique.

Avec Les Sœurs apostoliques de Saint-Jean, Les Sœurs contemplatives de Saint-Jean et Les oblats nous formons, dans l’Église, la Famille Saint-Jean

A Orléans

La paroisse Saint Laurent est une communauté paroissiale vivante, située dans la ville de d’Orléans, animée par les frères depuis 1994

Elle s’appuie sur les cinq « ressources » de la vie chrétienne : l’adoration, la communion fraternelle, la formation, le service et l’évangélisation, pour être le creuset de nombreuses initiatives fraternelles et missionnaires.

C’est ainsi qu’à Saint Laurent ont vu le jour l’adoration perpétuelle, les cordées paroissiales, l’École Saint Jean, la louange avec les veillées « Jésus sauve », Les repas du cœur pour les plus démunis, le parcours Alpha, Les 24 heures pour Dieu et le Dimanche des Curieux, événements majeurs d’évangélisation.

Logo de la Congrégation St Jean

Les frères de Saint-Jean, au service de cette communauté, assurent une présence de prière et cherchent à écouter la diversité des besoins, des situations de vie…

Ils exercent ainsi leur mission auprès des jeunes dans les « cordées » depuis leur arrivée à Orléans et coopèrent avec les sœurs apostoliques de Saint Jean du couvent de Béthanie à Saint-Jean-Le-Blanc tout proche d’Orléans.

La Commission SOS abus

En 2015, les Frères de Saint-Jean ont créé une commission interne afin d’accueillir tout témoignage mettant en cause un frère de Saint-Jean et afin de discerner les mesures à prendre. Elle est composée d’une psychologue, d’un avocat, d’un juriste et de 3 frères dont aucun n’appartient au gouvernement de la Congrégation.

Pour saisir cette commission sur un cas d’abus sexuel, vous pouvez prendre directement contact par mail à l’adresse suivante : sos.abus@stjean.com

Sœurs Apostolique de Saint Jean

La Congrégation des Sœurs Apostoliques de Saint-Jean appartient à la « Famille Saint-Jean », composée également des frères, des sœurs contemplatives et des oblats.

Elle est un institut religieux, d’esprit monastique, à finalité apostolique.

Les sœurs cherchent à mener une vie évangélique à la suite du Christ, Fils bien-aimé du Père et de Marie.

Voulant vivre de l’esprit de Saint Jean, le disciple que Jésus aimait, leurs apostolats s’enracinent dans une vie contemplative et prend sa source dans la Parole de Dieu, l’Eucharistie et la charité fraternelle.

soeurs-de-saint-jean-communauté

C’est auprès de Jésus, dans l’adoration quotidienne du Saint-Sacrement, qu’elles puisent l’élan de leur vie apostolique.

Les sœurs veulent, tout au long de leur vie, persévérer dans une recherche humble et confiante de la vérité.

La vie fraternelle et les humbles services de la vie commune donnent un témoignage de charité et de pauvreté.

En se recevant les unes les autres de la part du Christ, les sœurs communient ainsi à son amour pour tous les hommes.

Les Sœurs vous invitent à partager leur vie :

  • Prières
  • Services
  • Rencontre et repas avec la communauté

Dans leur vie apostolique, en communion avec les évêques, les sœurs sont attentives aux besoins de l’Eglise missionnaire et universelle.

Par le témoignage de leur vie consacrée, et en répondant aux divers appels que la Providence fait entendre, elles veulent être dans le monde témoins de l’Amour miséricordieux du Christ et répandre le feu de Lumière et d’Amour qu’Il est venu jeter dans les cœurs.

soeurs avec des enfans

Les sœurs sont présentes en Europe, en Afrique, en Asie, aux Etats-Unis et en France, notamment à St Jean-le-Blanc où le diocèse d’Orléans a confié à la communauté l’accueil à la Maison Béthanie : ouverte à tous ceux qui souhaitent trouver un lieu de prière, de silence et de partage fraternel : retraites, récollections, sessions de formation, activités éducatives et culturelles.

Dans un cadre de sérénité et de paix, les Sœurs Apostoliques de Saint-Jean vous accueillent en groupes ou individuellement au cœur de leur prieuré.

soeur avec des enfants

Elles sont aussi à votre disposition pour :

  • Des enseignements
  • Des témoignages
  • Une rencontre personnelle
  • L’animation d’un temps de prière (adoration, veillées…)

Activités proposées par les Sœurs de St Jean :

Pause Maman

Un jeudi par mois de 10h à 15h15 à la Maison de Béthanie

Un temps de pause, de prière, d’enseignement pour refaire ses forces auprès du Seigneur et se soutenir par la charité fraternelle.
Au programme de la journée : adoration, confessions et messe puis repas avec la communauté et enseignement.

Inscription au 02 38 56 16 60 – Une garderie est prévue pour les 0-3 ans – 25 € pour l’année et 15 € pour le repas

Retraites animées et prêchées par les Sœurs :

  • Retraite femmes
  • Retraite seniors – grands-parents, retraités
  • Retraite en famille – pour les parents comme pour les enfants
  • Retraite des enfants – pour les enfants en école primaire

Activités dédiées aux tous petits :

  • Amis de Jésus – 1 fois par mois les mercredis
  • Petits veilleurs – les premiers pas dans la prière, 2 mercredis par mois

Dîner couples :

Dîner préparé, servi et animé par les Sœurs

Pause café

Une fois par mois

Religieuses Ursulines de l’Union Romaine

« Institut religieux international où contemplation et apostolat se compénètrent et se vivifient réciproquement, la vie en communauté est essentielle à la vocation ursuline.… La vocation missionnaire est dans la tradition de l’Institut »  (cf Règle de vie)

Nées de l’intention créatrice d’Angèle Merici, les Ursulines veulent saisir les appels de l’Esprit-Saint et attester auprès des hommes « la nouveauté de Jésus-Christ ».

« Consacrées à Dieu, dans l’Eglise et par l’Eglise », engagées à la suite du Christ par les Vœux de Chasteté, Pauvreté et Obéissance, elles désirent rendre particulièrement présent le mystère du Christ-Epoux et le manifester à travers leur manière de vivre.

Ursulines de Beaugency

Dans la prière personnelle et communautaire où la dimension liturgique tient une place importante, spécialement autour de l’Eucharistie, lieu privilégié de la communion fraternelle, les Ursulines participent à la mission d’évangélisation de l’Eglise par leur engagement dans l’Education sous des formes variées : écoles, foyers, maisons d’accueil, catéchèse, mouvements, éducation de base… avec une attention spéciale à chaque personne, jeune ou adulte dans le souci de faire advenir et d’accompagner la vie.

Histoire

En 1535 Angèle MERICI fonde la Compagnie de Sainte Ursule à Brescia (Italie du Nord) et invente une nouvelle forme de vie consacrée en plein monde, avec un gouvernement de femmes. A Milan, Charles Borromée leur demande d’enseigner.

Au début du XVIIème siècle en France la Compagnie devient Ordre religieux cloîtré.

En 1639 Marie de l’Incarnation Guyart, Ursuline à Tours, part pour la Nouvelle France (Canada) comme missionnaire.

En 1900, à l’appel du Pape, est fondée l’Union Romaine de l’Ordre de sainte Ursule, une des branches de la famille méricienne, présente sur tous les continents.

Sainte Angèle Merici

Présence dans le diocèse

Présentes à Beaugency depuis 1629 les Ursulines ont partagé l’histoire de cette petite ville : leur grand couvent a accueilli aussi bien des jeunes que des adultes, qu’ils soient civils, prisonniers de guerre, malades… et servi momentanément de refuge à la paroisse durant la guerre de 1940-1945.

Dans ses murs se sont formées des générations d’Ursulines venues de plusieurs coins du monde : c’est dire l’attachement qu’elles portent à ce lieu !

Aujourd’hui, notre mission est d’accueillir ceux et celles qui désirent s’arrêter pour un moment de réflexion et de prière, tout en profitant du beau cadre que nous offrent la Loire et ses alentours.

Chacune, dans la communauté, contribue, avec le charisme qui est le sien, au dynamisme de notre vie fraternelle et à l’accueil de ceux qui passent. Diverses missions nous sont aussi confiées et c’est ensemble que nous les vivons : annonce de la Parole en lien avec le diocèse, animation de la Maison de la Parole où se retrouvent plusieurs groupes du diocèse et de la région apostolique, rencontre des enfants et des adultes de l’école Notre Dame dont la congrégation a la responsabilité morale, apostolat auprès de jeunes en difficulté, visites à des personnes isolées…

Religieuses de l’Assomption

Nous avons été fondées à Paris en 1839 par Sainte Marie-Eugénie MILLERET ; notre forme de vie donne place à la prière personnelle et liturgique, à l’adoration, à la vie ensemble entre sœurs et à la mission d’éducation.

Aujourd’hui, nous sommes présentes dans 33 pays : Afrique, Amériques, Asie et Europe.

Sainte Marie-Eugénie se laissait illuminer par le Christ pour vivre l’Evangile au quotidien, ainsi nous a-t-elle transmis son goût spirituel pour la venue du Règne de Dieu dans le monde, sa passion pour la vie de l’Eglise.

L’éducation étant le levier pour former des femmes et des hommes de foi et d’action : formation à l’intelligence de notre temps et de sa culture, ouverture à la solidarité, à la justice et à la paix.

Dans la ville d’Orléans

  •  une communauté de religieuses de l’Assomption vit dans le quartier de l’Argonne.
  •  un établissement scolaire (Collège et Primaire) –  20 rue Saint Marc  – s’attache en lien avec Assomption-France à donner des convictions auprès de 800 jeunes. Avec le souci d’une ouverture aux autres religions et aux enfants en difficulté (CLISS et ULIS).
religieuses de l'Assomption

Les cinq familles de l’Assomption

Dès sa fondation en 1839, Sainte Marie-Eugénie a fait la connaissance du Père d’Alzon : début d’une admirable amitié. Elle s’est intéressée de près à son projet d’une congrégation d’hommes. Et en 1845, c’est la fondation des Religieux Augustins de l’Assomption.

En 1865 naissent les Oblates de l’Assomption puis les Petites Sœurs de l’Assomption ; enfin en 1896 se forme la cinquième famille avec les Orantes de l’Assomption.

C’est un même esprit qui fait que nous nous reconnaissons membres d’une grande famille à la spiritualité christocentrique, faisant de Jésus Eucharistie le fondement de la vie fraternelle, avec une action apostolique enracinée dans la contemplation  et l’attachement à l’Eglise ; sans oublier un amour de la Vierge Marie privilégié en son mystère de l’Assomption.

Une passion partagée aussi avec les laïcs : Assomption ensemble, AMA et Assomption France

Filles de Notre-Dame du Sacré-Coeur

Le Père Chevalier, notre fondateur était convaincu que le remède à la pauvreté spirituelle de son temps se trouvait dans la connaissance de Dieu et de son amour pour les hommes révélés dans le Cœur du Christ.

Il voyait en Marie, mère de Jésus, le premier disciple et témoin du Verbe Incarné et il eut l’idée de l´honorer et de la faire honorer sous le titre de Notre-Dame du Sacré-Cœur.

En 1854, il fonda à Issoudun la congrégation des Missionnaires du Sacré-Cœur et en 1874, celle des Filles de Notre-Dame du Sacré-Cœur.

Le 8 décembre 1882, Marie-Louise Hartzer accepta du Père Chevalier le rôle de mère spirituelle de la jeune congrégation. Mère Marie-Louise transmit avec fidélité le désir du fondateur que toutes les Filles de Notre Dame du Sacré-Cœur s’inspirent de leur titre et se laissent pénétrer, comme Marie, de l’esprit du Cœur de Christ, afin d’être des témoins authentiques de son amour.

Les générations successives de sœurs ont vécu avec courage, joie et amour, la fidélité au charisme fondateur que Mère Marie-Louise leur avait inspirée.

Aujourd’hui nos Sœurs sont présentes dans 27 pays sur les cinq continents.

Soeurs de Notre-Dame du Sacré-Coeur

Spiritualité et mission

Le Père Chevalier était convaincu que notre mission a son origine, non en nous-mêmes, mais en Celui qui nous envoie. Cette conviction lui donnait le sens d’une mission sans limites - Aimé soit PARTOUT le Sacré-Cœur de Jésus – qui s’exprime dans une grande variété d’œuvres où nous nous efforçons de faire connaître Jésus et l’amour inconditionnel de Son Cœur pour tous.

Pour nous, Notre Dame du Sacré-Cœur n’est pas seulement un titre ; c’est une façon de représenter Marie, de méditer sur elle et de la prier : c’est par Elle que, nous pouvons aller avec confiance à son Fils, à son Cœur aimant et compatissant pour tous en particulier pour les plus démunis.

A Saint Jean-de-Braye, nous désirons vivre notre consécration dans une communauté priante, accueillante où rayonnent la simplicité et la joie. Nous sommes disponibles pour des bénévolats divers : éveil de la foi, aumônerie dans le monde la santé, accueil des familles de prisonniers, accueil des familles au Secours catholique et autres.

Filles de la Charité

Pour saint Vincent de Paul, notre fondateur, le Christ incarné nous demande un service continu d’amour en faveur de tout l’homme, particulièrement du plus démuni.

Envoyées en 1981 dans le diocèse pour y servir une population turque importante, notre « projet communautaire » est de vivre quotidiennement au milieu de ces familles, un christianisme le plus proche de l’Evangile, engagées et soutenues en Eglise diocésaine dans la Pastorale des Migrants.

Ce service est pour nous, l’expression de notre Consécration à Dieu.

Il nourrit notre contemplation et donne sens à notre vie communautaire.

Envoyées au service des familles turques musulmanes dans le département, notre Mission est d’abord, une attention humble et tenace, témoignant de la tendresse de Dieu pour les « petits ».

Notre chemin vers Dieu, c’est creuser toujours plus authentiquement notre chemin d’humanité à la Lumière de l’Evangile.

Notre priorité :

Vivre quotidiennement, au sein des réalités de la vie de ces familles, un Christianisme le plus proche possible de l’Evangile. Nous réajustons nos méthodes de travail en laissant toujours la porte ouverte à toutes formes de collaborations et d’accompagnements possibles.

Maison des filles de la charité

A la naissance de la Compagnie des Filles de la Charité, saint Vincent de Paul s’exprimait ainsi : « Elles auront

  • Pour monastère, les maisons des malades,
  • Pour cellule, une chambre de louage,
  • Pour chapelle, l’église paroissiale,
  • Pour cloître, les rues de la ville et les salles des hôpitaux,
  • Pour clôture, l’obéissance,
  • Pour voile, la sainte modestie,
  • Pour profession, la confiance continuelle en la Providence et l’offrande de tout ce qu’elles sont. »

Soeurs de Saint-Paul de Chartres

Notre mission

« Ce que vous avez fait au plus petit d’entre mes frères, c’est à Moi que vous l’avez fait »Mt 25, 40

Nous avons été voulues par notre fondateur pour répondre aux besoins des plus démunis dans l’éducation et le soin des malades, avec au cœur « le souci » de leur annoncer Jésus-Christ.

AUJOURD’HUI, nous sommes disponibles dans des tâches très variées, dans cette ligne, et en réponse aux besoins de l’Eglise locale.

A FERRIERES, les Sœurs de Saint Paul de Chartres assurent :

  • La tutelle de l’Ecole Sainte Jeanne d’Arc
  • L’aide aux classes maternelles, le service de la cantine
  • La catéchèse, l’aumônerie
  • La visite des personnes âgées
  • L’accompagnement des familles en deuil
  • Le service paroissial.

Histoire

Fondée en 1696, par M. l’abbé Chauvet, curé de Levesville-la-Chenard près de Chartres, la Congrégation est maintenant répandue dans 32 pays à travers le monde. MISSIONNAIRES dès l’origine, les Sœurs partirent, en 1717 pour la lointaine Guyane.

Maison Mère & Noviciat : Sœurs de Saint Paul – 5 rue Saint Jacques – 28000 CHARTRES
Province : Sœurs de Saint Paul – 42 rue Violet – 75015 PARIS

Notre vie

La prière est la source de notre dynamisme apostolique. Nous consacrons entre 2 et 3 heures à la prière personnelle et communautaire (oraison, office, eucharistie, lecture de l’Ecriture Sainte, chapelet). Elle nous conduit peu à peu, comme l’Apôtre Paul à « VIVRE DANS LE CHRIST ».

La vie fraternelle est notre joie. Ensemble, nous vivons en consacrées, dans la Charité, la Pauvreté, l’Obéissance. La prière, le silence, les partages, l’entraide, le pardon mutuel, l’apostolat commun, renforcent notre communion au service de Dieu et des hommes.

mission des soeurs de St Paul de Chartres

Esprit

Sœurs de charité, notre esprit est la simplicité et l’humilité.

L’Apôtre Paul est notre Patron, lui, l’Apôtre au cœur brûlant pour Jésus Christ :
« Ce n’est plus moi qui vis c’est le Christ qui vit en moi » (Gal 2, 19)
et au zèle dévorant pour son Evangile :
« Je me suis fait tout à tous, afin d’en sauver quelques-uns et tout cela je le fais pour l’Evangile » (1 Cor 9, 22-23)

Ses Epîtres servent de fondement à notre spiritualité.

Missionnaires du Sacré-Coeur

La devise des Missionnaires du Sacré-Cœur montre le côté universel de la Mission qui leur est confiée : « Aimé soit partout le Sacré-Cœur de Jésus »

Fondation

Le 8 décembre 1854, jour de la Promulgation du Dogme de l’Immaculée Conception, le P. Jules CHEVALIER, prêtre du Diocèse de Bourges, fonde une société de missionnaires à Issoudun dans l’Indre.
Saisi par l’Esprit, il veut combattre les maux de son temps en répandant sur le monde l’amour du Christ que représente son Cœur ouvert.

Très vite la petite congrégation va concrétiser l’universalité de cet appel. En 1881, le Pape leur confie les Vicariats de Mélanésie et de Micronésie. Les Missionnaires du Sacré-Cœur partent évangéliser la Papouasie-Nouvelle Guinée.

Aujourd’hui ils sont présents sur tous les continents, dans plus de 50 pays.

Vie des Missionnaires du Sacré-Cœur

Spiritualité

Leur spiritualité est teintée par la découverte du Cœur du Christ ouvert sur la Croix : « De ce Cœur ouvert surgit un monde nouveau ».

La spiritualité du cœur marque toutes leurs présences au monde : ils sont ouverts aux petits, aux humbles avec un amour infini.

Marie qu’ils honorent sous le titre de Notre Dame du Sacré-Cœur les précède souvent sur leur lieu de mission.

Dans le Diocèse d’Orléans depuis 1968, ils continuent à servir l’Eglise et à annoncer l’amour du Seigneur pour tout homme.

Avec toutes les personnes consacrées ils veulent témoigner d’un Dieu d’amour qui n’abandonne jamais l’homme. Ils accueillent volontiers à leur table, pour la prière ou pour un accompagnement personnel.

Frères Montfortains de Saint-Gabriel

Je suis actuellement le seul frère de Saint-Gabriel dans le diocèse d’Orléans. Auparavant, j’étais devenu sourd à l’âge de 4 ans, puis élève à l’institution des jeunes sourds de Saint-Jean-de-la-Ruelle, tenue par les Frères.

Puis, devenu moi-même Frère, j’y étais entré comme enseignant.

Actuellement, bien intégré dans la communauté des sourds d’Orléans, j’ai des charges limitées : accompagnateur de l’EAPS, traducteur occasionnel des textes bibliques et liturgiques en LSF (langue des signes française)…

F. Bernard Truffaut

bapteme avec un frère montfortain

Photo : 2017 : Baptême de Candice à Bouzy-la.Forêt
De g. à dr., un prêtre du diocèse de Lyon connaissant la LSF, les parents de Candice, f. Bernard, notre évêque, le P. Giroire, un diacre (sourd) du diocèse de Soissons.

Filles du Coeur de Marie

Les Filles du Coeur de Marie mènent une vie religieuse authentique, vécue dans la discrétion au milieu du monde, connue ou inconnue suivant la mission, centrée sur : la prière, la fidélité aux vœux, l’attention et le service des plus déshérités, la vie professionnelle.

Notre Spiritualité

Nous sommes un institut religieux, fondé en 1790 par Pierre de Clorivière, sj et Marie Adelaïde de Cicé, actuellement réparti sur 4 continents.

Spiritualité Ignatienne

  •  pratique du discernement à la suite du Christ
  • souci de la gloire de Dieu puisée dans la vie de prière et de service.

Spiritualité Mariale

Dévotion au Cœur de Marie, humble et disponible, ouvert sur tout l’univers.

Notre Charisme

Vie religieuse authentique, vécue dans la discrétion au milieu du monde, connue ou inconnue suivant la mission.

Centrée sur :

  • la prière,
  • la fidélité aux vœux,
  • l’attention et le service des plus déshérités,
  • la vie professionnelle.
Filles du Cœur de Marie

Notre vie communautaire

  • soit dans le partage de la vie commune
  • soit seule et dispersée en fonction de la mission confiée, avec regroupements et temps de prière commune.

Notre mission à Orléans

  • Maison de retraite
  • Prière
  • Pour les plus valides : SEM, ACAT…

Filles de la Sagesse

La Congrégation des Filles de la Sagesse est un Institut de vie apostolique fondé par Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, le 2 février 1703, à Poitiers (France).

Marie-Louise Trichet, Bienheureuse Marie-Louise de Jésus, première Fille de la Sagesse, en est la cofondatrice.

La Congrégation a été reconnue de droit pontifical, par décret du pape Pie IX, le 14 novembre 1853. De par sa tradition, la Congrégation appartient à la famille montfortaine avec les Missionnaires Montfortains de la Compagnie de Marie et les Frères de Saint-Gabriel.

Les Filles de la Sagesse, inspirées par les textes bibliques sapientiaux et les écrits de leurs Fondateurs, vivent d’une spiritualité marquée par l’amour de la Sagesse Éternelle et Incarnée.

Leur mission spécifique est de rechercher, contempler, révéler la Sagesse au cœur du monde et d’en dénoncer les fausses sagesses.

Depuis plus de trois siècles, des milliers de femmes ont répondu à l’appel du Christ Sagesse pour déployer le charisme de Montfort. Aujourd’hui, elles œuvrent dans les cinq continents, particulièrement auprès des personnes défavorisées. Leur sens de l’internationalité permet à l’Institut d’accueillir des femmes de toute culture, désireuses de consacrer leur vie à Dieu et de s’engager au service de l’Évangile dans l’Église et la société.

La Congrégation se sent responsable du don unique de vivre une spiritualité ancrée dans la Sagesse biblique et d’en témoigne